- Hydrater les voies nasales : Utilisez régulièrement du sérum physiologique pour garder le nez bien hydraté et limiter les effets du dessèchement causé par l’air conditionné. Cela aide à créer un environnement plus favorable à vos poumons.
- Éviter les écarts de température extrêmes : Un air trop froid peut favoriser des infections ou exacerber des maladies respiratoires comme la rhinite.
- Utilisation des humidificateurs : Si vous utilisez un humidificateur d’air pour compenser la sécheresse, sachez qu’il nécessite la même attention que la climatisation. Nettoyez-le régulièrement, au moins tous les six mois, pour éviter l’accumulation de moisissures. Assurez-vous également que l’humidité de l’air ne dépasse pas 60 à 65 %, pour prévenir la formation de moisissures sur les murs ou les plafonds.
Un climatiseur, en refroidissant l’air, réduit son humidité. Cela complique la tâche du nez, qui doit réchauffer, humidifier et filtrer l’air. Cela affecte particulièrement les personnes ayant des prédispositions, comme l’asthme ou la rhinite, rendant plus difficile le bon fonctionnement de l’appareil respiratoire.
Plus la température est basse, plus les risques pour la santé augmentent, surtout lorsque l’on passe d’un endroit climatisé à un environnement chaud.
"Si la température extérieure est d’environ 35°C, il ne faut jamais régler la climatisation à 17°C, mais plutôt autour de 23°C ou 24°C pour un équilibre agréable sans surcharger les voies respiratoires."